dimanche 4 mars 2012

Tomate Astucieuse


Mercredi dernier, j'ai eu la chance d'avoir mon 3e traitement au laser 1540 chez Photoderma à Ste-Dorothée. Comme à l'habitude, ma séance s’est très bien passée. Je commence à « m’habituer » au laser, du coup c’est beaucoup moins douloureux que les deux premiers traitements, bien que ma clinicienne ait augmenté la force de la charge. Comme les fois précédentes, j’ai surpris ma clinicienne en discutant et riant comme si de rien n’était… ou presque ;) .

Pour ce troisième traitement, j’ai eu défi que je n’avais pas auparavant, soit m’exposer au public les premières 24 heures suivant mon traitement. Habituellement, je m’arrange pour ne pas avoir aucune activité professionnelle les premiers 24 heures suivant mon traitement puisque j’ai la peau très sensible, mais surtout pour éviter de devoir expliquer à tout un chacun pourquoi j’ai la figure enflée et striée comme une matelinière de Jean-Paul Gaultier. Cette fois-ci, il m’était impossible d’annuler les activités prévues à mon agenda, j’ai donc dû piler sur mon orgueil et sortir le visage rougit. J’ai été chanceuse cette fois-ci, car je suis sortie plutôt enflée que striée de mon troisième traitement. Ainsi plus facile de passer incognito, surtout en portant le Color Science comme couche de protection. En fait, mon Color Science agissait autant de protection physique que psychologiques ces deux soirées-là. À mon avantage il y eut aussi le fait que les endroits où j’étais avaient une lumière tamisée, alors tous n’y ont vu que du feu ou presque. Seul mon entourage immédiat était au courant que je venais de subir ce traitement, donc ils sont aussi les seuls à m’avoir parlé de ce sujet.

Bref, on se juge plus souvent nous même que les autres peuvent nous juger. Ça m’a juste prouvé une fois de plus que je m’en faisais pour rien et que je restais magnifique malgré mes petites boursoufflures. D’ailleurs à ce sujet, mon plus grand inconvénient cette semaine après mon traitement fut de ne pas pouvoir rire comme je voulais. Mes joues étaient si enflées que de les plisser pour rire était douloureux. Pour une fille qui travaille en humour comme moi, ça relevait presque du supplice chinois, mais comme on l’entend trop souvent : il faut souffrir pour être belle!

Ha oui, avant que je l’oublie, mon visage réagit si bien au traitement qu’il se pourrait que celui-ci soit écourté à 4 ou 5 séances au lieue de 7. Je me sens très choyée à l’idée de savoir que j’aurai un superbe visage pour la période estivale, mais surtout le reste de ma vie.

On s’en reparle bientôt, d’ici continuez à prendre soin de vous, on se crème, on sourit à la vie et l’on attend impatiemment le doux soleil du printemps.

PS: le titre de mon billet fait référence au petit nom que me donne mon amoureux depuis que je suis mon traitement.

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